Chantier Plappeville 8 février 2020

Verger du vieux puits PLAPPEVILLE

On prend (presque ) les mêmes et on recommence.

Après le chantier des 9 et 10 novembre 2019 et la plantation d’un noyer rouge le 31 décembre, nous voici de retour sur les lieux pour continuer à défricher le verger du vieux puits à Plappeville.

Il ne fait pas froid mais le mieux justement pour ne pas se refroidir est de s’y mettre. Alors les tronçonneurs se mettent en action et abattent les arbres les plus épais. Les autres empilent les troncs et cisaillent les branches. Bientôt nous laissons tomber les vestes… Qu’on est bien en pleine nature…et en bonne compagnie !!!!!

Après la pause café, nous nous attaquons aux lauriers qui ont atteint une taille impressionnante. Nous découvrons un semblant de cabane…Peut être l’ancienne demeure d’un ermite du coin…Nous débarrassons cet endroit des quelques déchets restés sur place et pensons avoir trouvé le fameux « puits » du verger mais il n’en a que le nom.

Qu’à cela ne tienne, nous nous consolons immédiatement avec la magnifique vue qui s’offre à nous dès que nous levons la tête. Au premier plan, le village de Plappeville dévoile ses attraits puis la vision de l’œil nous mène jusqu’à Metz et ses plus beaux bâtiments… Preuve irréfutable de l’efficacité de notre action.

Satisfaits de nous même, nous donnons encore un coup de propre au chemin d’accès au verger puis nous remballons gants et outils pour nous diriger vers la maison de Michèle et nous régaler d’une excellente soupe aux lentilles, de cakes et tartes salées et sucrées accompagnés d’un ou deux (mais pas trois) verres de vin blanc ou/et rouge.

Nous remercions les 45 bénévoles qui ont œuvré à la réussite de ce chantier : les travailleurs sur le site mais également les personnes qui ont préparé la table, le repas et fourni les boissons.

Le prochain rendez-vous est donné dimanche 22 mars 2020  à 9h00 pour une démonstration et un apprentissage de la taille des arbres fruitiers avec l’association des croqueurs de pommes.

Cette belle journée fut clôturée par un passage de grues cendrées

Texte : Sophie Seyer

Photos : Brigitte Closset